Il y a des choses que vous ne pouvez pas décrire, mais que vous sentez. Auparavant, c’est le silence du public qui régnait. Mais au moment où les gens ont réalisé que le Va Pensiero allait démarrer, le silence s’est rempli d’une véritable ferveur.
De gravures de Goya issues des "Caprices" et de son tableau "La ronde de sabbat", à la "Symphonie fantastique" de Berlioz en passant par "La ronde de sabbat" de Victor Hugo.